samedi 19 février 2011

TOUS LES CHEFS D'ETAT FRANCAIS SONT DES TERRORISTES

Le terroriste c’est le partisan ou l’acteur du terrorisme. Et le terrorisme c’est l’emploi de la terreur.


Selon le dictionnaire français et nom d’une autre langue, le terrorisme fait référence à l’emploi de la terreur par un régime dictatorial dans un pays donné. Cela est bien défini surtout lorsqu’on se rappelle de la France bonapartiste. Mais le terrorisme après la Deuxième Guerre mondiale, a été vite identifié de manière différente à
travers le monde.

Cette activité est aussi comptable aux États, le cas de l’État français qui continue de pratiquer du terrorisme en Afrique, est une forme de terrorisme qui passe sous silence la vigilance des intellectuels africains et français en France et en Afrique. La cadence de la mondialisation et la marque de coopération nous font perdre de vue tous les crimes qui s’accompagnent avec la coopération. Le franc CFA en exemple, est une forme de terrorisme monétaire que la France a imposée aux États africains, alors que La France n’utilise de nos jour que la monnaie choisie dans sa communauté, appelée communauté européenne. Une autre escroquerie troublante. Je dis bien que c’est du terrorisme monétaire d’autres exemples sont légion.
La malhonnêteté des politiciens dans le monde surtout occidental assimile ce mot de terrorisme à des groupes donnés qui agissent sous l’étiquette d’un fondamentalisme religieux. Et tous les faux historiens français sans compter des faux critiques politiques se lancent dans une campagne de dénigrement et de confiscation de la vérité en épinglant tel groupe ou tel autre groupe religieux dans le monde.

Mais curieusement, ces historiens français et critiques politiques sont incapables par simplement malhonnêteté intellectuelle de lire et d’analyser une forme de terrorisme planifié et dirigé par des autorités françaises de toutes les républiques qui défilent dans ce pays en ayant comme champ d’expérimentation de leur terrorisme : l’Afrique, sous le mensonge d’État appelé coopération.

Eh oui, la coopération, cette dernière arnaque, est une méthode de recours à une forme d’amitié opérée entre États (personnalités morales), selon la forme du cadre juridique choisi et parfois imposé par le plus fort.

Puis finalement l’amitié entre individus (personnalités physiques), c’est-à-dire entre les signataires que sont des chefs d’État et leurs ministres, parfois au détriment des intérêts de la nation ou de la population. Cette coopération étant fondée sur les intérêts de chaque pays selon les besoins ressentis sur tout ce qui attire les uns et les autres est un préalable dans tout accord signé sur le plan bilatéral en tenant compte des domaines de priorité bien ciblés. C’est ainsi que chaque partie y trouve son compte dans cette coopération, sur le plan culturel, socio-éducatif, commercial sans compter des questions de sécurité qui peuvent s’y ajouter, et, pour cela, certains pays ou certains États ont accepté de signer des tels accords militaires en ouvrant l’œil.
Cependant, dans cette forme d’arnaque moderne, les pays occidentaux, dont la France, tirent le maximum de profit en pratiquant du terrorisme. Par exemple: les prix des ressources du sol et du sol des pays africains sont fixés par les Occidentaux et surtout la France. Cet épisode est pourtant moins criant. En outre l’on sait bien que la technologie n’est pas développée en Afrique. Voilà pourquoi l’industrialisation est balbutiante.
Mais, ce que l’on constate dangereusement pour la vie des Africains avec la France et ses dirigeants, c’est que tous ne viennent pas en Afrique pour pratiquer une coopération saine avec les pays ou les États africains, mais avant toute chose, les dirigeants français de tout bord, privés ou étatiques, viennent faire de la coopération terroriste avec les pays africains en programmant des deuils dans les familles. Depuis la date de l’indépendance en 1960, les Français ont tant endeuillé les peuples africains comme si la colonisation a traversé l’année 1960.

Pour étayer cette question qui devient une préoccupation de tous les fils dignes d’Afrique, il faut regarder comment l’Afrique est dirigée. Certes, la responsabilité des Africains est quelque chose qui mérite une critique. Mais devant la puissance du colonisateur, il est difficile que d’opposer un argument contraire.
Que sont-ils ces dirigeants africains? Comment parviennent-ils à devenir chefs d’État en période de démocratisation de l’Afrique? Et comment se comportent-ils devant leurs peuples? Pour la grande majorité d’entre eux, on y trouve des chefs d’État dictateurs venus au pouvoir par l’aide de la France, soit par coup d’État militaire sanglant, soit par une élection truquée par l’aide et le soutien de la France. Et lorsque les populations boudent un chef d’État tricheur, le cas d’Ali Bongo, Sassou et autre…, dans leur stratégie, les autorités françaises se précipitent sans honte d’envoyer des troupes dans ce pays-là en brandissant toujours la même raison de la sécurisation de leurs ressortissants: une raison mensongère qui confirme bien que les visées de la France et ses dirigeants sont plutôt ailleurs.

Si vous regardez au Congo Brazzaville, au Tchad en Centrafrique et au Gabon, c’est la même signature de la France.

De telles méthodes s’appellent du terrorisme ouvert. Partout en Afrique, les populations sont terrorisées par des Français.

Avec la situation qui va bientôt prendre de l’ampleur au Gabon, et comme en 1964, l’armée française va voler au secours d’Ali Bongo, car on voit bien l’attitude de la France. Là où la France a des intérêts, les populations sont rendues à l’état d’esclavages pour voir la France soutenir uniquement son représentant. Voilà!

Les Tchadiens l’ont subi il y’a quelque temps. La France a effacé la rébellion juste et honorable du Tchad, cette rébellion qui voulait renverser le dictateur, en estimant qu’Idriss Deby trichera toujours à l’élection. Mais la même France n’a aucun intérêt à balayer la rébellion de Ouattara, car La France a bien prouvé aux yeux du monde que cette rébellion de Ouattara est également la sienne.

Comment comprendre que pour le cas de la Côte d’Ivoire, il n’y a que Sarkozy qui intervient avec une fougue hitlérienne qu’on se demande quelle est la vraie raison d’une telle option à se présenter comme un petit Dieu qui vient appendre l’évangile à ses fidèles? Et quel type d’évangile? Des menaces, des interdictions, des mises en garde. Est-ce que les pays d’Afrique sont des propriétés de la France? Est-ce que les dirigeants français ont une conscience pour comprendre que les Noirs ne sont pas des animaux?
Est-ce que les Français peuvent-ils par l’accumulation des notions scientifiques, acquises, réussir à fabriquer un humain surtout de race noire?

Si l’on prend le cas du Gabon : pendant que les populations gabonaises luttent pour leur liberté, leur souveraineté et leur indépendance, la France leur impose à nouveau un dirigeant non élu, à l’instar d’Omar Bongo que la France avait collé au peuple gabonais en 1960 pour les mêmes raisons d’intérêts, en le plaçant comme pion dans le cabinet de Léon-Mba.

Cela est clair et net que la situation d’imposture qui règne au Gabon a pour parrains les dirigeants français.
Pourtant l’on sait bien que les Africains n’ont aucune force de vider les intérêts français en Afrique, mais les dirigeants français se permettent quand même de pratiquer du terrorisme. Car pour les autorités françaises, le principe de domination des Noirs mêmes les plus instruits que certains français est une idéologie bien appropriée. Ils n’ont aucun respect. Les exemples sont bien clairs. Prenons le cas du professeur Pascal Lissouba qui a été admiré et apprécié par le général de Gaulle. Nombre de Français à la culture intellectuelle très limitée l’ont bien haï en lui manquant du respect pour sa lutte contre le colonialisme. Il a été renversé par la France en utilisant des marionnettes comme Sassou et Do Santos.

Aujourd’hui et maintenant, nous demandons aux autorités françaises et tous les Français mercantilistes de respecter les Africains.

Nous demandons aux autorités françaises de respecter les principes des droits de l’homme.
Nous demandons aux autorités françaises d’arrêter le pillage des ressources d’Afrique.
Nous demandons aux autorités françaises d’arrêter de tuer les fils d’Afrique.

Enfin, nous demandons aux autorités françaises de considérer les pays d’Afrique en tant que partenaires économiques égaux en respectant leur souveraineté telle que cela est inscrit dans le droit international à l’ONU.

Vive l’Afrique!
Vive les Africains luttant pour leur liberté!

Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme


Dimanche 13 Février 2011

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