jeudi 27 novembre 2025
Congo-Brazzaville, l'effondrement de l'Etat
mercredi 26 novembre 2025
Congo : 67e Anniversaire de la République : Bâtir l’Union Nationale par la TPSA-ToPeSA
Le 11/26/2025 par Editor CDRC
67e Anniversaire de la République : Bâtir l’Union Nationale par la TPSA / ToPeSA
À l’occasion du 67ᵉ anniversaire de la Proclamation de la République du Congo, il est nécessaire de rappeler que l’unité nationale n’a jamais été un slogan, mais un engagement historique constant. Aujourd’hui, face aux fractures politiques et institutionnelles, la TPSA/ToPeSA apparaît comme l’unique voie réaliste et politiquement viable pour restaurer l’État et offrir un horizon d’espoir au peuple congolais.
Un héritage d’unité nationale qui doit nous inspirer
Dans l’histoire politique du Congo, l’union nationale n’a jamais été une abstraction. Elle a été portée par des responsables qui savaient que la pérennité de la République dépendait de la capacité de ses dirigeants à dépasser leurs divergences.
Dès les premières années de l’indépendance, le président Fulbert Youlou sut s’entourer de personnalités telles que Jacques Opangault, son directeur de cabinet devenu Vice-président de la République. Plus tard, Simon-Pierre El Hadj Kikhounga-Ngot accompagna le président Youlou même durant sa traversée du désert.
Lors de la Conférence Nationale Souveraine, l’esprit d’unité fut illustré au MCDDI par Bernard Kolélas aux côtés d’Antoine Letembet Ambily. Ce même esprit guida Simon-Pierre El Hadj Kikhounga-Ngot lorsqu’il contribua à la stabilité du pays :
- en apaisant les tensions entre François Bita et Isidore Mvouba dans le gouvernement Lissouba ;
- en conseillant au président Bernard Kolélas d’accepter la Mairie de Brazzaville, initialement promise à Richard Eyeni, pour maintenir un équilibre politique vital.
Que ce soit en cherchant à opposer le Nord au Sud, ou le Sud entre lui-même, en exacerbant les tensions entre le Pool et les Trois Palmiers, ces divisions artificiellement imposées aux populations n’ont jamais reposé sur une réalité tangible. L’histoire démontre au contraire que l’union nationale n’a rien d’un mythe. Ces exemples démontrent que l’union nationale est concrète et possible. Elle constitue la base solide de la TPSA/ToPeSA, socle indispensable à la restauration de l’État.
Reconnaître les avancées pour mieux avancer
En 2010, j’ai appelé le président Denis Sassou Nguesso à reconnaître officiellement le 28 novembre comme la Fête de la République. Il l’a fait, et il est important de le rappeler avec objectivité, même si je n’ai pas été invité à la cérémonie. Reconnaître un acte positif ne retire rien à l’exigence de vérité ni à la nécessité d’une transition apaisée.
Un moment décisif pour changer le cours de l’histoire
Ce 67ᵉ anniversaire intervient dans une période extrêmement sensible pour notre pays. Pourtant, c’est aussi une opportunité historique. Le peuple congolais a toujours démontré sa capacité à la résilience lorsque ses dirigeants savent s’élever au-dessus des divisions.
Face aux drames récents – notamment les exécutions sommaires qui ont profondément marqué la Nation – il est indispensable que la classe politique dépasse les préjugés et les rancœurs pour ouvrir une nouvelle page de notre histoire.
La TPSA/ToPeSA : la seule voie crédible pour une transition apaisée
Une seule dynamique politique est aujourd’hui en mesure de garantir une sortie de crise pacifique, inclusive et stable : la TPSA/ToPeSA – Transition Politique Sans Arbitraire / Transition Politique et Sociale Apaisée.
Elle constitue :
- un cadre de réconciliation nationale ;
- une plateforme de dialogue entre toutes les forces vives ;
- une garantie de stabilité institutionnelle ;
- une ouverture pour la jeunesse et les talents de demain ;
- une base solide pour reconstruire un État moderne, juste et prospère ;
- une voie diplomatiquement acceptable par nos partenaires internationaux.
L’autre alternative serait une dislocation progressive de la République, comme l’ont exprimé les populations de la Sangha et de la Likouala. Aucun responsable politique ne peut accepter cette dérive.
Un destin commun que nous devons assumer ensemble
Ma détermination est totale. Ma volonté demeure intacte : unir les Congolaises et les Congolais pour bâtir un avenir partagé, dans la paix, la justice et la prospérité.
Le Congo peut et doit redevenir ce qu’il a toujours été : le centre naturel du marché intérieur de l’Afrique centrale, un pays pivot, stable, moteur d’intégration et de croissance.
C’est ce que nous devons à notre histoire. C’est ce que nous devons à notre jeunesse. C’est ce que nous devons à la République.
Modeste
Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
26 novembre 2025
vendredi 21 novembre 2025
Sassou Nguesso reconnaît que « les exécutions sommaires avaient pour objectif d’intimider la population…
COMMUNIQUÉ DE PRESSE | Sassou Nguesso reconnaît que « les exécutions sommaires avaient pour objectif d’intimider la population… mais la population n’a pas eu peur ! »
Le 11/21/2025 par Editor CDRC
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Le CDRC appelle le peuple congolais à retrouver sa fierté et son histoire
Denis Sassou Nguesso a ordonné des exécutions sommaires « pour faire peur à la population », selon des informations documentées. Face à cette menace, le CDRC appelle les Congolaises et les Congolais à s’unir autour de la TPSA/ToPeSA afin de restaurer l’État, reconstruire la confiance et bâtir un avenir commun pour la nation afin de retrouver notre fierté et notre honneur.
Le peuple congolais doit retrouver sa fierté et son histoire
Du 28 novembre 1958 au 28 novembre 2025, soixante-sept années se seront écoulées, marquées non par l’essor attendu de la nation congolaise, mais par la misère, la répression et la confiscation du pouvoir. Le 28 novembre 1958, date qui devait annoncer la fin de la tyrannie et des souffrances sociales, morales et humaines, doit aujourd’hui trouver son accomplissement dans la conquête d’une indépendance pleine et réelle.
Le 28 novembre 2025 doit marquer le point de départ du Nouveau Congo. Ce jour doit sceller la fin de la tyrannie, la fin des assassinats, la fin des souffrances sociales, morales, humanitaires et psychiques.
Peuple congolais, debout ! Debout pour écrire votre propre histoire et reprendre votre destin en main !
Il doit marquer la fin du régime de Denis Sassou Nguesso et de la DGSP, un appareil paramilitaire qui s’est illustré par les violences, les exécutions sommaires et les intimidations contre les citoyens. À cela s’ajoutent des accusations gravissimes et documentées de trafic de passeports diplomatiques au profit de groupes terroristes tels que le Hamas, le Hezbollah et les Houthis du Yémen, pouvant atteinte aux intérêts internationaux, comme l’a souligné l’Administration américaine, en Europe, aux États-Unis, en Israël et en Russie. Un comportement assimilable à celui d’un acteur terroriste international visant à infiltrer ou déstabiliser les services de renseignement et des agences occidentaux.
Face à cette dérive historique, le peuple congolais doit se lever, rester debout et reprendre en main son destin et être à nouveau fier. L’heure est venue de mettre un terme à un système qui piétine les droits fondamentaux, menace la sécurité nationale et ternit l’image du Congo sur la scène internationale.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE | Sassou Nguesso reconnaît que « les exécutions sommaires avaient pour objectif d’intimider la population… mais la population n’a pas eu peur ! »
Des informations récentes confirment que Denis Sassou Nguesso a reconnu devant des interlocuteurs que l’opération dite « Zéro Bébés noirs » – présentée officiellement comme une action contre les « Kulunas » – avait pour objectif réel, je cite : « de faire peur à la population… » et il ajoute «… mais ils n’ont pas peur ! ». C’est le sens de sa paix rappelé à plusieurs reprises au Lycée de la Liberté.
Un peuple n’a jamais peur. Il attend le moment.
Comme déjà lors de l’inauguration du Lycée de la Liberté, le 24 octobre 2025, où Denis Sassou Nguesso avait reconnu avoir autorisé la DGSP à mener des opérations meurtrières dans le Pool, à Ikongono et des Disparus du Beach – opérations qu’il a qualifiées de « grand succès » alors même qu’il ne cesse de parler de paix dans ses discours – cette nouvelle déclaration confirme que les exécutions sommaires, les maisons incendiées, les jeunes pourchassés et la population traumatisée ne relevaient d’aucune logique d’État, mais bien d’une stratégie de terreur arbitraire. Pendant ce temps, son exécutant, le général Serge Oboa, appelait les parents à dénoncer leurs propres enfants, alimentant une politique de peur indigne d’une République moderne.
Le CDRC condamne avec la plus grande fermeté ces dérives graves et la soumission aveugle du général Serge Oboa, directeur de la DGSP, dont le commandement relève directement de Denis Sassou Nguesso. Ces actes appellent à des responsabilités et à des conséquences.
Que va fera maintenant le zélé général Serge Oboa ?
Maintenant que Denis Sassou Nguesso a reconnu que l’opération « Zéro Bébés noirs » visait à « faire peur à la population », et que celle-ci n’a pas cédé à la peur, une question essentielle se pose : que fera maintenant le zélé général Serge Oboa lorsque le peuple va retrouver sa fierté et son histoire ?
UN APPEL À L’UNITÉ NATIONALE AUTOUR DE LA TPSA / ToPeSA
Le peuple congolais a démontré au fil de son histoire qu’il est un peuple fort, digne et résilient. Il ne se laisse pas intimider par des opérations passagères travesties en politiques de sécurité.
Face à cette situation, la TPSA/ToPeSA n’est pas une démarche de vengeance ni une logique de confrontation stérile. C’est une proposition politique lucide et structurée qui vise :
- à restaurer l’État et son autorité républicaine,
- à garantir l’unité nationale sans exclusion ni représailles,
- à remettre le Congo sur la voie de la stabilité, de la légalité et du développement.
Il ne s’agit pas de détruire, mais de reconstruire. Pas d’humilier, mais de redonner dignité. Pas de diviser, mais de rassembler autour d’un projet crédible et responsable.
Un tournant historique comparable à 1958
Comme en 1958, nous sommes au bord d’un choix historique. Soit le Congo continue sa chute et devient une entité disloquée, dominée par des intérêts privés, paramilitaires et mafieux, soit il se ressaisit, retrouve son esprit républicain et engage une refondation nationale.
Notre vision politique s’inscrit dans la continuité de celle des Pères-Fondateurs de la République : Fulbert Youlou, Simon-Pierre Kikhounga-Ngot, Jacques Opangault, Jean-Félix Tchicaya, qui aspiraient à bâtir Une Nation Pour Tous, stable, équitable et tournée vers le progrès.
LA JEUNESSE ET LA DIASPORA AU CŒUR DU NOUVEAU CONGO
La jeunesse, aujourd’hui sacrifiée, ne demande qu’une seule chose : une nation fonctionnelle, digne, juste, capable de lui offrir un avenir. La TPSA/ToPeSA est un cadre pour construire cet avenir avec elles et eux.
La jeunesse congolaise doit refuser la politique de division qui lui est imposée et porter haut le flambeau de la République Une et Indivisible. Chaque région – de la Sangha à la Likouala, de la Cuvette-Ouest à la Cuvette-Centrale, en passant par les Plateaux, puis du Pool à la Lékoumou, au Niari jusqu’au Kouilou – doit retrouver sa place pleine et entière dans la construction nationale, sans marginalisation ni oubli.
Plus que jamais, la désimmigration de la diaspora doit devenir l’un des moteurs de la refondation du pays. Elle représente l’expertise, la compétence, l’énergie et l’élan indispensables pour rebâtir le Congo sur des bases solides :
- justice,
- égalité des chances,
- avenir pour la jeunesse,
- développement durable des territoires.
Avec la TPSA/ToPeSA, il n’y aura plus de politique fondée sur la peur, la soumission ou l’obéissance aveugle des officiers, mais l’engagement et la participation de toutes et tous à la construction de l’Union Nationale et d’un Congo réconcilié avec lui-même.
Car si nous ne le faisons pas maintenant…
Demain, il pourrait être trop tard. L’histoire nous observe. Les générations futures aussi.
Car si nous ne le faisons pas maintenant, qui le fera à notre place ? Et si nous attendons demain, ne sera-t-il pas trop tard ?
Modeste Boukadia
Président du CDRC – Une Nation Pour Tous
Brazzaville, le 21 novembre 2025
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mardi 18 novembre 2025
Madame Arlette Soudan-Nonault, l'affamée du gouvernement congolais
par Patrice Aimé-Césaire Miakassissa 18 Novembre 2025, 09:54 Congo-Brazzaville PCT Sassou Nguesso Arlette Soudan-Nonault
Congo-Brazzaville : l'effondrement de l'Etat
par Patrice Aimé-Césaire Miakassissa 18 Novembre 2025, 09:47 Congo-Brazzaville PCT Sassou Nguesso
samedi 15 novembre 2025
Modeste Boukadia : Un leadership pour faire du Congo une nation pour tous
Le 11/15/2025 par Editor CDRC
Modeste Boukadia : un leadership pour faire du Congo Une Nation Pour Tous
– Sa Vision stratégique
Face aux défis politiques, économiques et géopolitiques actuels, Modeste Boukadia, Président du CDRC, propose une stratégie nationale audacieuse pour faire émerger Une Nation Pour Tous.
Décentralisation financière, gouverneurs responsables, paradis agricoles, désimmigration structurée, renaissance culturelle : sa vision associe innovation, stabilité et attractivité internationale pour repositionner le Congo comme acteur majeur en Afrique centrale.
I. Un leadership politique fondé sur la responsabilité et l’unité nationale
Un projet national clair
“Une Nation Pour Tous” :
un Congo où les institutions servent le peuple, où chaque citoyen retrouve sa dignité, et où la politique redevient un instrument de justice et de cohésion.
Sa Devise :
« Unir pour construire, et non diviser pour régner. »
Atouts pour d’une force politique
- Unité nationale comme priorité absolue.
- Fin du clanisme, retour à l’État impartial.
- Jeunesse au centre du renouveau national.
- Vision culturelle renouvelée : renaissance des semaines culturelles.
– Marché intérieur & culture
Modeste Boukadia propose d’unir toutes les régions dans un marché intérieur solide, articulé autour des paradis agricoles.
Il valorise les trésors culturels et naturels de chaque territoire et relance la tradition des semaines culturelles, afin de transmettre et célébrer la richesse de nos traditions, ciment de l’unité nationale.
II. Une vision économique moderne : la désimmigration comme moteur de développement
Comprendre la désimmigration
La désimmigration n’est pas un retour forcé :
C’est une stratégie nationale de reconquête des talents, de sécurisation des investissements et de codéveloppement international.
Ses Points clés :
- Retour volontaire et accompagné des compétences.
- Mobilisation de la diaspora comme capital économique stratégique.
- Partenariats avec les États et entreprises autour de contrats transparents.
- Repositionnement du Congo dans l’économie du savoir.
Sa citation :
« Les talents congolais à l’étranger ne sont pas perdus : ils sont notre première richesse. »
III. La décentralisation responsable : bâtir des régions autonomes, productives et prospères
Révolution administrative
Modeste Boukadia défend une décentralisation réelle, où les régions disposent :
- d’un gouverneur responsable,
- d’un budget propre,
- d’une autonomie de gestion,
- d’un contrôle institutionnel strict.
– Les Paradis Agricoles
Chaque région devient un moteur économique grâce :
- à la modernisation agricole,
- à la transformation locale des produits,
- à l’exportation régionale et internationale,
- à la création d’emplois stables.
Objectif : faire du Congo un grenier agricole moderne en Afrique centrale.
IV. Un leadership crédible et respecté à l’international
Un atout essentiel dans le monde actuel
La reconnaissance internationale de Modeste Boukadia repose sur :
- une cohérence politique respectée,
- un engagement constant pour la légalité et la démocratie,
- un dialogue régulier avec les institutions européennes, américaines et africaines,
- une vision capable d’attirer investisseurs, bailleurs et partenaires technologiques.
Sa Citation internationale :
« Un Congo stable et moderne est possible, mais il exige un leadership responsable et crédible. »
V. Pourquoi les Congolais peuvent lui faire confiance
Raisons majeures :
- Il place la Nation avant les intérêts personnels.
- Il ne transige pas sur justice, vérité et unité nationale.
- Il propose une vision claire, réaliste et réalisable.
- Il apporte une alternative crédible soutenue internationalement.
- Il offre un chemin concret pour que la jeunesse puisse réussir au Congo.
Conclusion – Choisir la dignité, la stabilité et l’avenir
Soutenir Modeste Boukadia, c’est choisir :
- la restauration de l’État ;
- l’unité nationale ;
- l’innovation économique ;
- la décentralisation productive ;
- les paradis agricoles ;
- la renaissance culturelle ;
- la désimmigration comme moteur de croissance ;
- la stabilité et la crédibilité internationale.
Pourquoi Modeste Boukadia ?
Pour :
Un Congo pour tous, pas pour quelques-uns.
Un Congo qui inspire respect et ouvre l’avenir.
Service Presse et Communication CDRC
Fait à Brazzaville, le 15 novembre 2025

